Question
Ma fille de 2 ans a été refuse de tomber endormi. Nous avons un rituel nocturne qui commence à 7:00, l'heure du coucher est à 20h00 mais elle n'a pas été endormir jusqu'à bien autour de 11: 00-minuit. Elle pose surtout dans le lit de parler, chanter, rire, et bascule /arrière et crier (non pas parce qu'elle est en colère - tout en faisant des bruits forts crier). En outre - j'ai un nouveau-né et souvent quand je me lève au milieu de la nuit pour le soigner, je peux entendre la réveiller dans sa sa chambre jetant en arrière ou de parler. Je suis vraiment inquiet que son manque de sommeil affecte son développement.
Son sillage typique du temps est compris entre 7-8 a.m. Elle est à la maison avec mon mari toute la journée car il est un séjour à la maison papa. Nous avons tout ce que nous pouvons penser, y compris découper toutes les télévisions de sa routine et faire en sorte de limiter les choses comme le sucre et le chocolat fait. Nous nous assurons qu'elle a une collation avant le coucher afin qu'elle n'a pas faim et nous faisons de notre mieux pour que son environnement et pyjamas sommes à l'aise.
Je trouve qu'il est presque impossible de dormir pendant qu'elle est éveillée. Je ne sais pas combien je peux prendre se coucher vers minuit et avoir à réveiller un couple de fois par nuit pour prendre soin de mon nouveau-né. Nous sommes à notre esprit fin et ne sais pas si nous devrions avoir vérifié son médicalement pour voir si quelque chose ne va pas? S'il vous plaît aider!
Réponse
Salut, Christine,
Je trouve très inhabituel que le manque de sommeil altère vraiment le développement. Certains enfants ont tout simplement pas besoin d'autant de sommeil que les autres et obtenir par le sommeil agité très bien.
Si elle est dans sa chambre, ne pas causer des ennuis, heureux et parler, je ferais de mon mieux pour l'ignorer. Les enfants de cet âge, et d'autres âges pour cette question, obtenir un sentiment de puissance en sachant qu'ils peuvent «bugs» leurs parents et ont donc une marge de contrôle sur eux.
Bonne chance, M. Olson